Nekt

un homme vétu d'une cape noire entra dans l'auberge.

Il ouvrit la porte, descendit les quelques escalier, et s'assit a une table proche.
Il attendit que quelqu'un vienne le chercher.

OhneSeele vit entrer un homme vetu de noir. Elle finissa sa choppe d'un trait et alla a sa rencontre.

Bien le bonjour seigneur Nekt, votre voyage s'est-il bien déroulé depuis les terres des 15 ?

fort bien très cher oneseel, nous ne vous avons pas vus depuis fort longtemps, passerez vous quelques fois?

serveurs, a boire.

il enleva sa cape noire.

Elle rectifia le seigneur, le regardant en souriant :

OhneSeele, seigneur, il me semble que vous avez fait une petite faute de prononciation.
Elle fit une petite pause, regardant autour d'elle dans la taverne.

Oui, bien sur que je repasserai, mais le temps me fait malheureusement defaut, vous me pardonnez j'espere ?

- Bonoir Ohne, comment te portes tu?

La sombre silhouette eût un sourire avant de s'asseoir obligeamment aux côtés de sa compagne du moment. En face de lui, un Seigneur semblait se tenir, d'un air légèrement suffisant à son goût...
Peu importait après tout.
Il se tourna vers Dame Ohne.

- Alors c'est ici que cela devrait se faire n'est ce pas... Doit- on aller mander le tavergiste?

Personne ne semblait s'intéresser à ces seigneurs qui sembalient dépérir. Sizlaa ne pouvait supporter de les voir dans cet état, rongés par la soif.

Bonjour à tous mes seigneurs et dames. J'espère que vous n'allez pas nous jouer de funèbre mélodie dans cette salle.

Le prince prit position derrière le comptoir et essaya de se repérer entre les nombreux fûts et bouteilles.

Alors, qu'est-ce que je vous sers ? Je pense pouvoir répondre à toutes vos demandes, alors je vous écoute.

Attendant la réponse de ses hôtes, Sizlaa se servit un verre de rome avec quelques guias et un zest d'agrume.

Bonsoir cher Hyunkhel. Je vais très bien merci, je vous en renvoie la question.
Elle se tourna vers le seigneur Sizlaa

Allons, nous ne donnons pas lieu de concert en cette heure... Attendez la soirée et peut-être que le seigneur Hyunkhel se décidera à nous jouer un morceau de sa symphonie.

Un Téh me ferait le plus grand bien, merci.

- Si vous aviez un clavecin je me ferais un plaisir... Si vous n'avez pas peur des conséquences...

Il sourit faiblement tandis que ses yeux rougoyaient doucement.

- Je me porte plutôt bien dois je dire, nous nous en sommes plutôt bien sortis je crois... Ce fut une mélodie de toute beauté, un véritable hymne... Seigneur- Prince d'Ambre, je ne sais pourquoi je m'attendais à vous revoir en ces lieux... Même s'il est vrai que le Prévôt... Enfin laissons ces palabres là. Nou ne jouons pas uniquement pour répandre ce qui nous est cher, il nous arrive également de le faire sans que cela n'ait de connotation, quoiqu'effectivement ce soit fort rare...

Pouchkine s'avança près des membres de la conversation.
Il salua tous les seigneurs:

Bonjour camarade Luciole (- eh pourquoi il l'appelle pas par son nom: "Nekt"? - parce que c'est comme ça. - ah ok... merci.)
Bonjour à vous aussi camarade OhneSeele ainsi qu'à vous, camarade Sizlaa. Vous vous ête remis de la choppe de grazsth à l'O de Jaav-el?

Puis ses yeux se posèrent sur Hyunkhel T. Aëban.
Manque de pot, aujourd'hui il n'était pas "dans la peau de Clint Eastwood", et il se contenta de le saluer (peut banal hein?)
Nous nous sommes déjà rencontré chez les antropophages je crois...

Une dame qu’il ne connaissait pas était arrivé.
tiens donc pouchkine, comment vas tu aujourd'hui?

Bonjour dame hunkel je crois? Je me permet de vous demandez qui êtes vous.

- Seriez vous donc si aveugle que vous ne sauriez reconnaître un renaissant d'une renaissante, ou manqueriez vous simplement d'expérience en la matière...? Ou peut- être, étant donné que vous semblez ignorer les règles de la politesse en omettant de vous présenter, que vous présentez quelques problèmes d'ordre élémentaire...

Son regard condescendant n'éhappa même pas au moins attentif de ses interlocuteurs. Il se tourna ensuite vers le nouvel arrivant, dont il se rappellait vaguement le visage... Oh oui le paysan si sa mémoire était bonne... De meilleure humeur que la dernière fois malheureusement...

- Effectivement Camarade...

L'effort de politesse était notable chez lui, si bien qu'il se prit à espérer qu'il fut mal pris, pour que l'ambiance puisse se muer en quelque chose de plus remuant.